Le RNRA est une association qui regroupe des refuges et sanctuaires pour les animaux dits de ferme ou d’élevage, sur le territoire français.
Il a pour mission de promouvoir ces structures dans leurs actions de protection des animaux dits de ferme et de tout animal issu de la maltraitance et de l’exploitation humaine.
Ses missions :
Nos engagements :
Ces refuges sont des acteurs de la cause animale, en termes de sauvetage, de protection et de sensibilisation aux alternatives possibles.
La mission de ces refuges est de récupérer les animaux, de les aider à retrouver une vie sereine et de les protéger jusqu’à leur mort naturelle.
Il existe plusieurs dizaines de refuges et sanctuaires en France, souvent méconnus et non structurés de manière collective, aux financements fragiles.
Vous vous posez probablement la question…
Quelle est la différence entre ces deux termes ?
En France, le terme « refuge » figure au code rural, pour désigner les structures reconnues en préfecture pour accueillir les animaux de compagnie issus de la fourrière ou abandonnés par leur propriétaire.
Le terme « sanctuaire », apparu récemment par analogie avec la langue anglaise, désigne des refuges sans programme d’adoption, où les animaux sont accueillis à demeure.
Les structures accueillant des animaux dits d’élevage se désignent aussi fréquemment sous le nom de « fermes-refuges » et «refuges».
“J’ai grandi dans une ferme, entourée par les animaux, en toute innocence et en créant un lien avec eux. Les bétaillères venaient quand nous, les enfants, étions à l’école. Adulte, en découvrant l’envers du décor, je me suis engagée en tant que militante pour dénoncer la cruauté et l’injustice que l’espèce humaine inflige à ces êtres sensibles. Pour montrer qu’il est possible de vivre différemment avec les autres espèces, j’ai décidé de créer ce projet pour visibiliser et soutenir l’engagement des refuges et sanctuaires pour animaux dits de ferme. Ces structures sont l’exemple concret d’un autre monde possible, dans la bienveillance, la compassion et le respect de chaque vie.
“L’être humain a oublié que nous sommes interdépendant.e.s les un.e.s avec les autres. Blesser, meurtrir, tuer un animal, c’est, symboliquement, se donner le même sort et ne pas se respecter comme on ne respecte pas le vivant. Soutenir les refuges, c’est permettre cette prise de conscience, d’ouvrir les yeux sur cette réalité et, en soignant nos pairs du vivant, on se soigne aussi un peu de nos égoïsmes, pour aller vers un monde plus juste et respectueux.”
“J’ai grandi dans une ferme, entourée par les animaux, en toute innocence et en créant un lien avec eux. Les bétaillères venaient quand nous, les enfants, étions à l’école. Adulte, en découvrant l’envers du décor, je me suis engagée en tant que militante pour dénoncer la cruauté et l’injustice que l’espèce humaine inflige à ces êtres sensibles. Pour montrer qu’il est possible de vivre différemment avec les autres espèces, j’ai décidé de créer ce projet pour visibiliser et soutenir l’engagement des refuges et sanctuaires pour animaux dits de ferme. Ces structures sont l’exemple concret d’un autre monde possible, dans la bienveillance, la compassion et le respect de chaque vie.
“L’être humain a oublié que nous sommes interdépendant.e.s les un.e.s avec les autres. Blesser, meurtrir, tuer un animal, c’est, symboliquement, se donner le même sort et ne pas se respecter comme on ne respecte pas le vivant. Soutenir les refuges, c’est permettre cette prise de conscience, d’ouvrir les yeux sur cette réalité et, en soignant nos pairs du vivant, on se soigne aussi un peu de nos égoïsmes, pour aller vers un monde plus juste et respectueux.”
“Les refuges et sanctuaires réalisent au quotidien un travail remarquable et essentiel auprès des animaux rescapés de l’élevage et d’autres maltraitances.
J’ai choisi de les aider en consacrant un peu de mon temps à la traduction de contenus de The Open Sanctuary Project, parce qu’il est essentiel que ces structures de sauvetage et d’accueil aient accès au plus grand nombre de ressources possibles pour les aider dans leur mission.”
“Amoureuse des animaux et passionnée par la langue anglaise, ma participation à ce beau projet, au diapason avec mes convictions, me permet de concilier les deux, tout en sachant que ce que je fais est utile et positif.”
“Depuis que mon colocataire Marcel, un petit lapin bélier, est entré dans ma vie, j’ai pris conscience du traitement injuste que le monde fait subir aux animaux. Aujourd’hui, j’essaye de mettre à profit mes compétences en illustration pour sensibiliser au spécisme et aider le plus de gens possible à mieux connaître les animaux, plus spécifiquement ceux que l’on a habitude de manger. J’espère que ma participation à ce chouette projet aura un impact positif.”
“Les refuges et sanctuaires réalisent au quotidien un travail remarquable et essentiel auprès des animaux rescapés de l’élevage et d’autres maltraitances.
J’ai choisi de les aider en consacrant un peu de mon temps à la traduction de contenus de The Open Sanctuary Project, parce qu’il est essentiel que ces structures de sauvetage et d’accueil aient accès au plus grand nombre de ressources possibles pour les aider dans leur mission.”
“Amoureuse des animaux et passionnée par la langue anglaise, ma participation à ce beau projet, au diapason avec mes convictions, me permet de concilier les deux, tout en sachant que ce que je fais est utile et positif.”
“Depuis que mon colocataire Marcel, un petit lapin bélier, est entré dans ma vie, j’ai pris conscience du traitement injuste que le monde fait subir aux animaux. Aujourd’hui, j’essaye de mettre à profit mes compétences en illustration pour sensibiliser au spécisme et aider le plus de gens possible à mieux connaître les animaux, plus spécifiquement ceux que l’on a habitude de manger. J’espère que ma participation à ce chouette projet aura un impact positif.”